Attention, le droit évolue vite, ce qui est vrai aujourd’hui peut ne pas être vrai demain. Les articles présentés peuvent ne pas être totalement adaptés à votre situation ou à l’état du droit. Ils reflètent l’investissement de notre cabinet auprès des victimes.
Pour vérifier votre situation, contactez-nous

Vincent
– « J’ai eu un accident de bûcheronnage en 2011 et j’ai rencontré Maître Gerbi en 2012 après un peu de rééducation. »

Maître Gerbi
– « Vincent avait eu un courrier de sa compagnie d’assurance qui lui demandait s’il voulait engager des poursuites pour faire reconnaître son droit à indemnisation. »

Vincent
– On met les pieds dans un truc qui paraît énorme alors que l’on a déjà bien d’autres choses à gérer au début.

Maître Gerbi
– « Le premier rôle de l’avocat c’est de rassurer.
Devant la complexité du système judiciaire, devant la complexité des étapes, devant la complexité des démarches administratives, notre rôle est de simplifier et d’expliquer.

Indemniser c’est réparer. C’est la seule modalité, aujourd’hui, pour réparer un préjudice.

Alors malheureusement, on ne peut pas transformer l’état de santé. En revanche, ce que l’on peut faire, c’est que l’environnement devienne adapté. »

Vincent
– « Pour continuer ce que l’on a envie de faire, il faut forcément mettre en place des moyens techniques.
Par exemple, je suis en train de me reconstruire une sellette de parapente, ça coûte des sous parce qu’il faut un ingénieur, il faut souder le chassis etc…

Même si c’est beaucoup de débrouille, cela coûte cher quand même. Du coup, avoir une somme d’argent ca permet de retrouver les choses qui nous faisaient vibrer avant. Pour moi c’était de pouvoir refaire du parapente. »

Maître Gerbi
– « Nous avons permis qu’il puisse obtenir les moyens d’acheter du matériel adapté et poursuivre cette activité.
Et au delà de l’achat du matériel, nous avons obtenu l’indemnisation des aides humaines nécessaires à la poursuite des activités de loisir de Vincent.

Pour le cabinet, c’est une grande réussite parce que c’est dans ce sens que nous avons fait jurisprudence.
Lorsque l’on dit que nous avons besoin de cette aide humaine pour les activités d’agrément, on va au delà de la loi et on peut effectivement, et c’est la décision que nous avons obtenu, faire indemniser spécifiquement une aide humaine pour les activités de loisir. »

Vincent
– « Avec des amis, nous sommes partis en 2014 au Spitzberg, une île de la Norvège située au dessus du cercle arctique, pour aller skier le Newtontoppen qui est le plus haut sommet de l’île.

Un soir on s’est dit « wouah, on va faire ça, on va faire ça ! ». On s’est alors donné les moyens techniques et physiques car c’est cher et qu’il s’agit d’un milieu polaire et un peu extrême.

Je n’ai pas de sensibilité au niveau des jambes, il fait froid et l’on partait une semaine camper dehors, du coup il fallait bien préparer ça. Ca nous as pris près de 2 ans. Puis nous y sommes allés… et on s’est régalé ! »

 

Victimes et Préjudices, vous rendre plus fort.