Attention, le droit évolue vite, ce qui est vrai aujourd’hui peut ne pas être vrai demain. Les articles présentés peuvent ne pas être totalement adaptés à votre situation ou à l’état du droit. Ils reflètent l’investissement de notre cabinet auprès des victimes.
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En 2007, Didier réalise une artériographie.
Lors de cet examen, il est victime d’un aléa thérapeutique.

« – Et depuis je suis handicapé, hémiplégique côté gauche sur un fauteuil, j’arrive à marcher encore un peu, mais de moins en moins. Et j’ai le bras gauche qui ne fonctionne plus.

– Je rencontre Didier et Agnès à un moment donné où beaucoup de portes se sont fermées pour eux. On initie cette procédure, qui est une procédure encore assez récente dans le temps, la loi de 2002 qui permet d’être indemnisé d’accidents médicaux non fautifs, ce qu’on appelle des aléas thérapeutiques. Et je les engage dans cette voie là.

– On a eu droit, si mes souvenirs sont bons à trois expertises supplémentaires pour nous entendre dire après que c’était dû à mon état antérieur. On ne se sent plus victime mais accusé. Et ça c’était vraiment lourd à vivre.

– Donc il faut faire jouer systématiquement le droit face à une réalité médicale telle que la voudrait les compagnies d’assurances. On ne vient pas réclamer une somme d’argent, on vient compenser un préjudice. On vient permettre qu’une vie puisse se poursuivre autant que faire se peut, dans les meilleures conditions possibles.

– Le résultat en fin de compte il est un peu là. C’est à dire qu’on a pu aménager chez nous. Je ne pouvais pratiquement plus vivre ici.

– La plus grande réussite, c’est pas dans la décision de justice qu’on l’a, c’est dans le regard de la victime. Et je crois qu’aujourd’hui effectivement quand je regarde Didier, quand je regarde Agnès, je me dis que oui le cabinet a fait un bon job, on a réussi le job. On les a accompagné, on a fait ce qu’il fallait.

– Moi je tiens à dire que j’ai été vraiment accompagné, on m’a aiguillé, on a eu le droit à une indemnisation qui a fait que maintenant je peux vivre chez nous. Je peux, pas vivre mieux, mais vivre normalement. »