Attention, le droit évolue vite, ce qui est vrai aujourd’hui peut ne pas être vrai demain. Les articles présentés peuvent ne pas être totalement adaptés à votre situation ou à l’état du droit. Ils reflètent l’investissement de notre cabinet auprès des victimes.
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Comme vous, j’aime ma ville.

Comme vous j’en connais les atouts qui en font une métropole unique: un territoire naturel riche, une intelligence économique, culturelle, artistique et sportive qui attire au delà de nos frontières, des ambitions environnementales et sociales innovantes.

Quand l’immeuble Bonne Energie (le 1er bâtiment à énergie positive de France) est sorti de terre à Grenoble en 2010, nous étions peu d’acteurs économiques à oser investir dans cette technologie et à croire dans la mixité de l’éco quartier de la Caserne de Bonne dans laquelle mes bureaux sont aujourd’hui implantés. Je fais parti de cette poignée de pionniers qui soutiennent leur ville.

Grenoblois et acteur économique de la ville, comme vous, j’ai mon mot à dire.

Engagé pleinement, en qualité d’avocat spécialisé dans le dommage corporel, dans la défense des victimes, les témoignages que vous me livrez sur l’intranquillité publique n’ont cessé de croître ces dernières années : plus nombreux, plus terribles.

Comme vous, j’ai vécu les émeutes urbaines, les caméras, les bouillons politiques, les mots sans les actes.

Chacun, de la droite à la gauche, se renvoie la responsabilité depuis des années, et la problématique demeure.

Comme vous, je n’accepte plus que ma ville soit citée comme la « chicagre ».

Pour autant, des quartiers dits « sensibles » à ceux du centre ville, le constat est le même.

Et ce constat, nul n’a le droit de refuser de le regarder en face au prétexte de la seule sauvegarde de l’image de Grenoble.

Nous savons que les chiffres de plaintes sont en dessous de la réalité de la sécurité et ce n’est ni les média ni les réseaux sociaux qui créent de l’insécurité ou en augmentent la perception.

Or, le sentiment d’insécurité conditionne grandement notre capacité à vivre ensemble et le combattre passe par des solutions concrètes qui appartiennent aux acteurs politiques et de justice.

Vous avez été les témoins récents d’une passe d’arme médiatique entre le ministre de l’intérieur et le maire de la ville : chacun, dans les prérogatives qui sont les siennes, a défendu sa position et ses choix.

Et vous, qu’avez vous à dire?

C’est pour vous donner la parole que j’ai commandé auprès de l’Institut Viavoice un sondage.

Il donne une photographie à un instant T.

Votre photographie.

Vous pouvez consulter l’étude Viavoice en la téléchargeant ici : https://www.victimesetprejudices.fr/espace-presse/